A l’intérieur une grotte (ou baume si vous préférez) étonnante. Quelqu’un apparemment y vient souvent ; on y trouve une chaise, une table, du café, thé, sucre, un jardin miniature à l’extérieur et même un petit cahier où les « passants » peuvent laisser un mot. Il a même installé des guirlandes de Noël.
Nous nous posons quelques instants. D’ici, la vue est magnifique sur la vallée (mais oui, l’Aveyron est un beau pays !!!). Curieusement aucun des autochtones présents ne connaissait l’endroit. Quelle fierté pour moi, l’étrangère, de leur faire découvrir !
Nous terminons notre ascension au milieu des falaises. Les vautours ne sont pas loin de nous.
Une rencontre inattendue : l’inconnu de la grotte ! Nous bavardons un petit moment avec lui, il nous explique que c’est la grotte du Prieur et qu’entre autre, il aide la LPO à recenser les vautours.
Nous sommes maintenant sur le plateau, au milieu des buis et des pins. Nous retrouvons rapidement les chemins qui sont proches du Cade. Nous reconnaissons les lieux.
Nous descendons une zone rocheuse et nous passons devant la fontaine de Salze.
Très vite, nous apercevons le Viaduc. Non, je n’aurais pas perdu le groupe.
Nous arrivons à l’aire d’envol côté sud. Il est 13h, cette petite terrasse panoramique tombe à pic pour nous restaurer.
Après le repas, on ne peut pas s’empêcher d’aller admirer le point de vue sur Millau et on repart vite sur un sentier sinueux, et agréable. Nous allons traverser une 1ère fois la route pour la retraverser quelques minutes plus tard et retrouver la ferme du Cade.
Maintenant, c’est la partie la moins sympa de la rando mais ça ne dure pas. Nous retrouvons le sentier qui redescend sur le Monna. Ici la végétation est dense, beaucoup de mousse sur les arbres. Sur la gauche une très belle arche et peu de temps après un grand rocher qui nous sert de promontoire. Une nouvelle fois, nous admirons la vue et les falaises sur notre gauche.
Une dernière petite montée pour retrouver le plateau avant de redescendre par le sentier des ânes.
Le début de la descente se fait au milieu des falaises. A la fin, nous retrouvons le chemin sur lequel nous avons débuté notre rando ce matin.
Mais le plus dur n’est pas passé, maintenant il nous faut goûter : une belle flaune, spécialité de Cécile et une irrésistible bûche de Noël faite par Jean-Marie. Merci à eux !
Décidément, les randos, ça devient dur…